Les notes de « L’amour est dans le pré », saison 17, épisode 7

Noémie : 8/10

Après avoir congédié Romain avec classe, la “Cendrillon du Jura” a réuni son conseil des sages pour tirer les vers du nez de Gaël. Mauvaise piste car pour faire parler ce grand gaillard, mieux vaut réunir le XV de France.

Romain : 6/10

Un mec trop gentil pour qui l’important, c’est avant tout de participer. Rendez-vous en 2024 pour les JO, Romain !

Gaël : 4/10

Gaël le dit lui-même, il n’est pas Cyrano de Bergerac. Mais ce n’est pas une raison valable pour se montrer aussi bavard que le lama qu’il tient en laisse.

Thierry : 2/10

Il s’apprête à faire fuir la femme de sa vie, celle qui le fait “jouir” en lui appliquant de la bétadine. Tout ça pour quoi ? Pour une baraque qu’il bâtit lui-même depuis 26 ans, et qui ne sera pas terminée dans 26 ans. Coquin de sort !

Sylviane : 5/10

Elle n’a pas réussi à se projeter dans une maison loin d’être terminée. N’est pas Stéphane Plaza qui veut.

Rémédios : 6/10

Mauvaise idée que d’avoir voulu faire un plat de lasagnes classique. Car Thierry, lui, ce qu’il préfère, c’est faire absolument n’importe quoi avec les ingrédients avant de poser très fort le sel et le poivre devant son assiette. Pauvre Rémédios.

Jean-Paul : 6/10

La fusion de George Clooney et de Jean-Pierre Elkabbach a failli oublier Dévi sur le parvis de la gare. En guise de mea culpa, Jean-Paul n’a pas oublié de mentionner qu’il connaissait Valérie depuis dix piges.

Dévi : 4/10

Même si elle part avec un train de retard sur Lily, Dévi est confiante. Normal, elle maîtrise les rudiments de la méditation zen japonaise.

Lily : 7/10

Un bon coup de klaxon suivi d’un “Suprise !” en anglais, deux petites goûtes de CBD dans le gosier : la meilleure pote de Jean-Paul a fait une entrée fracassante dans la villa. En plus de ça, Lily est venue faire du “home-staging”, à savoir faire pivoter les deux lits simples de quatre-vingt-dix degrés. On attend la suite !

Guillaume : 9/10

Le danseur fou du village de Pionsat a les yeux qui pétillent et une crinière plus douce que celle d’un mouton. Et a une préférence pour Maxime que tout le monde a cramée. Mais chut, c’est un secret !

Maxime : 8/10
“Tu veux que je te beurre la tartine ?” “Tu veux que je te secoue la bouteille ?” Dommage que Jean-Marie Bigard ait percé trente ans avant Maxime.

Tom : 6/10

Magret de canard bien rosé avec ses pommes de terre sarladaises, tiramisu poire speculoos : Tom est un bon cuisinier qui aurait dû s’inscrire à Top Chef avec Philippe Estebech… Ectebech… Etchebest !

Alain : 9/10

Il a l’entrejambe qui fourmille et sa blague fétiche en atteste : « Le mec il s’amène et il dit “ J’ai un zizi énorme. On peut mettre 17 mésanges dessus. Bon, allez, je dois avouer que la dernière avait une patte dans le vide.” » Les ornithologues sont morts de rire. Marie-Ange et Catherine un peu moins.

Marie-Ange : 7/10

Elle a trouvé en Alain le sosie du père de son fils et a adoré sa cabane écolo. Même le tigre en peluche qui dort dans sa voiture est sous le charme.

Catherine : 1/10

Elle aime les cheveux longs et a sorti la meilleure punchline de cet épisode : “Alain, avant le petit-déj, c’est la laine des moutons. Et après le petit-déj, c’est le loup des bois.” Prends ça, Paul Éluard.

Sébastien : 3/10

En balançant à Perrine “J’ai envie de te dire : prends la voiture et casse-toi !” on s’est tous dit la même chose : heureusement que Sébastien n’est pas concessionnaire automobile ! Et puis ensuite, on s’est rappelé que Seb cherchait l’amour.

Perrine : 6/10

Elle en a pris plein la figure pour avoir simplement dit que c’était relou d’attendre une heure devant un verre de Chablis. Mais Perrine n’est pas du genre à se laisser faire et au final, c’est bien elle qui vendait les saucissons de Sébastien trois euros pièce pour les Corses, quinze pour “les Français” au marché.

Léa : 4/10

“Léa, elle est pas terroriste, elle est pas anti-terroriste” chantait Louise Attaque. Mais Léa pour l’instant, elle est surtout très susceptible.

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