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<i>Blédina</i> avance vers l’agriculture <i>de demain</i> - Doolittle
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Blédina avance vers l’agriculture de demain

Parce que l’alimentation de bébé a toujours été une priorité, Blédina n’arrête pas de se bouger. À l’image des actions menées pour soutenir la filière poire Williams menacée, la célèbre marque continue de se battre pour accélérer la transition agricole et soutenir ses agriculteurs face aux difficultés auxquelles ils sont confrontés.

Derrière chaque petit pot, il y a des agriculteurs. Seulement, personne n’est sans savoir que ce secteur est accompagné de nombreux défis. Les deux principaux étant le changement climatique qui affecte tout au long de l’année les récoltes, ainsi que le manque de successeurs. Pour que bébé puisse continuer de se régaler, Blédina multiplie les initiatives visant à accompagner ses agriculteurs partenaires français vers l’agriculture régénératrice. “Ce modèle d’agriculture durable s’appuie sur un ensemble de bonnes pratiques, visant à restaurer la fertilité des sols, favoriser la biodiversité, économiser l’eau et respecter le bien-être animal”, précise la célèbre marque. Pour permettre cette transition, Blédina – qui a pour ambition d’impliquer 100% de ses agriculteurs d’ici 2025 – mène des actions tant techniques, économiques qu’humaines. Exemples : soutien personnalisé, formations par des experts ou encore, rémunération revalorisée avec de nouveaux contrats permettant de financer la transition.  

“Par ce partenariat, j’ai pu mettre en place des couverts végétaux diversifiés entre mes pommiers, afin de rendre mes vergers plus résilients face à la sécheresse”

Si ce projet a été initié auprès de 32 fermes pilotes en 2020, le changement semble s’opérer dès maintenant. En septembre dernier, la signature du premier contrat en agriculture régénératrice a eu lieu. Et c’est Robert Cecchetti, arboriculteur, que Blédina soutient. “Blédina et Pour une Agriculture du Vivant [mouvement associatif qui agit en faveur de la transition agroécologique et les sols vivants, ndlr] m’accompagnent techniquement dans l’expérimentation de ces nouvelles pratiques, se réjouit-il. Par ce partenariat, j’ai pu par exemple mettre en place des couverts végétaux diversifiés entre mes pommiers, afin de rendre mes vergers plus résilients face à la sécheresse.” Les gourdes à la pomme ont donc encore de belles années devant elles. 

Plus d’infos sur le site de Blédina

Par Ana Boyrie