Menu Fermer
S'abonner
Les notes de <i>« L’amour est dans le pré »</i>, saison 17 - Doolittle
  • Culture
  • Lifestyle

Les notes de « L’amour est dans le pré », saison 17

Un nouveau speed dating, un baiser langoureux, des larmes, des départs, l’épisode du lundi 26 septembre de L’amour est dans le pré était, une nouvelle fois, riche en émotions. Voici notre bulletin de notes.

 

Jean : 6/10

Dans ses films, Stanley Kubrick adore faire des scènes avec des regards caméra. Il aurait donc aimé Jean qui ne peut pas s’empêcher de regarder la caméra, même quand il découvre la salade de riz de ses prétendantes. Bon, l’éleveur de vaches a quand même oublié qu’il était filmé au moment de partager sa salive avec Laurence. Et surtout oublié qu’il y avait Nathalie juste à côté.

Nathalie : 4/10

Vu comment elle a “sauvé le riz”, c’est Koh-Lanta qu’elle aurait dû faire. Ou The Voice pour chanter du Johnny. En tout cas, elle s’est trompée de chaîne.

Laurence : 6/10

Un slow et un baiser de son prince charmant, Laurence a de quoi “jibuler” comme le dit si bien Nathalie.

Guillaume :  7/10

Il est tellement sous le charme de Noémie qu’il n’arrive pas à la regarder dans les yeux. Heureusement il a la technique pour ne plus rien voir : enfiler une couette. Alors qu’avec la méthode du burrito (voir vidéo ci-dessous), ça se fait en 2 minutes.

Margot : 5/10

La dernière fois qu’elle a eu une déception amoureuse, elle s’est mise à faire du ball-trap. Vu comment c’est parti avec Guillaume, elle devrait s’inscrire au lancer de hache dans les prochaines semaines.

Noémie : 7/10

Venue dans le Limousin en voiture, elle en a profité pour passer prendre Margot en chemin. En revanche, elle compte bien la déposer à la gare et faire la route du retour seule avec Guillaume.

Agnès: 8/10

La plupart des gens qui ont une rhino-pharyngite restent au chaud dans leur lit à regarder Netflix le temps que ça passe. Agnès, elle, danse un rock. C’est sans doute ça, l’homéopathie.

Christian : 9/10

S’il n’y avait que des Christian dans le monde, tout se passerait bien mieux. Et la moustache serait revenue à la mode.

Éric : 8/10

Quand ses concurrents font des tartes, chantent du Johnny ou font des jeux de sourcils pour séduire Agnès, Eric, lui, annonce qu’il est capable de dire au petit déjeuner “Allez fais tes valises on part 3 jours à Porto”. Mais du coup, on n’est pas à l’abri qu’au premier réveil au Portugal, il veuille partir trois jours ailleurs. C’est le risque.

Alexandre : 6/10

Contrairement à son homonyme Alexandre le Grand, le Normand n’est pas à l’aise à cheval. Mais est-ce que le Roi de Macédoine savait se garer en marche arrière avec un tracteur tout en dévoilant ses sentiments à sa prétendante ?

Annaïg : 4/10

Pourquoi tout tenter pour gagner le cœur d’Alexandre quand il suffit juste de rester dans son coin et regarder Laura s’auto-détruire ?

Laura : 3/10

Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, Laura est “émotive”. Si elle pleure en voyant Alexandre donner à manger à son cheval, imaginez l’état dans lequel elle doit être devant La Ligne Verte.

Alain version agriculteur : 7/10

Vous vous êtes déjà demandé ce que serait devenu Stéphane Bern s’il ne s’était pas passionné pour l’histoire mais pour l’agriculture ? Et bien voilà la réponse.

Alain version prétendant : 4/10

Comme beaucoup d’enfants, Alain se tourne les pouces quand personne ne le regarde et se met à travailler dès qu’on le surveille. Sauf qu’Alain n’est plus un enfant.

Gilbert : 4/10

« Ta façon de travailler ne s’adapte pas à ma façon de travailler ». En fait, Gilbert ne cherchait pas l’amour, mais un boulot.

Jean-Noël : 8/10

La question que tout le monde se pose est la suivante : Jean-Noël avait-il un piercing à l’arcade avant de voir le portrait de Alain ou l’a-t-il seulement fait pour lui ressembler ?

Karine Le Marchand : 7/10

Cristina Córdula est formelle, le haut rouge avec la veste fuchsia par-dessus “ça va pas du tout”. Sinon, nickel, comme d’hab’ depuis 146 saisons de L’amour est dans le pré.

Par Steven Oliveira