Les notes de L’amour est dans le pré, saison 17, épisode 10

Jean : 10/10

Jean se souviendra longtemps de son voyage en Charente. Du début à la fin, il aura été gaga de Laurence, du chauffage de l’appart de Laurence, du turbot (le poisson) de Laurence, et de la lavande qui pousse au bord de la route qu’il a cueillie pour Laurence.   Mention spéciale pour son “J’suis venu voir mon amoureuse” balancée à la boulangère du coin qui voulait surtout l’aider à insérer son billet de 5 dans la machine.

Laurence : 8/10

Lâcher un “c’est bien” alors qu’elle vient de s’envoyer en l’air toute la nuit avec son Dom Juan, c’est tout simplement la marque des grands.

Alexandre : 8/10

Certes, notre éleveur laitier normand ne maîtrise pas encore parfaitement le breton. Mais s’il y a une chose qu’Alexandre sait indéniablement faire, c’est trouver les mots pour donner des ailes à son “petit oiseau”.

Anaïg : 6/10 

Elle s’est décomposée quand elle s’est rendue compte que la marée était haute. À raison, car c’est une faute impardonnable pour une Bretonne digne de ce nom.

Noémie : 3/10

“MACHO, MACHO-MAN ! MACHO-MACH’, OH MACHO MAN !” Oui, malgré les apparences, Noémie est en fait une fan hardcore des Village People.

Gaël : 5/10

C’est toujours un peu délicat de voir un rugbyman se faire plaquer autre part que sur un terrain de rugby. Surtout quand l’excuse, c’est de dire que Gaël est trop gentil.

Jean-Paul : 7/10

Il est passé du vigneron qui ne pense qu’à sa trogne à un homme touchant, ému aux larmes, au moment où le train part avec sa belle à l’intérieur. Immense glow up.

Dévi : 9/10

Son imitation de Guenièvre sur le lit nuptial était la seule fausse note de son séjour dans l’Est de la France. Danseuse hors-pair, flow impeccable, exploratrice infatigable, Dévi n’a pas vendangé son affaire.

Valérie dit “Lili” : 4/10 

On peut se faire friendzoner une fois. On peut se faire friendzoner deux fois. On peut se faire friendzoner trois fois… Mais on ne peut pas se faire friendzoner pendant plus de dix ans par la même personne à 60 piges, Valérie.

Agnès : 5/10

Il est commun au Japon de louer des amis pour la modique somme de 50 euros. Agnès a fait mieux : participer à un feuilleton télévisé pour faire de l’accrobranche accompagnée et ainsi ne pas dépenser le moindre kopeck. La France a un incroyable talent !

Éric : 6/10 

Définitivement plus à l’aise sur Terre que dans les airs. Un canard.

Christian : 8/10

Assortir ses lunettes à sa chemise et à sa moto, c’était déjà classe. Mais partir bras en l’air roulant vers un nouvel horizon, avec cette pointe d’élégance pour souhaiter le meilleur à celle qui ne sera pas sienne, ce n’est pas donné à tout le monde. Christian d’or.